1) Il n'y a vraiment pas beaucoup d'eau dans le Rivoal en ce début du mois de novembre. Pour les filés d'eau, c'est rapé mais pour les filés des feuilles tourbillonnant à l'abri du [petit] courant principal, c'est jouable… c'est la première fois que je vois si peu d'eau à cet endroit où je viens régulièrement poser mon trépied depuis quelques années.
2) pratiquement à chaque « marche » du torrent, des feuilles tourne comme sur un manège à un rythme pas vraiment perceptible à l'œil mais, en prenant son temps avec une pose longue, on se rend bien compte du léger tourbillon qui ne trouble pratiquement pas la surface de l'eau.
3) le peu d'eau me permet de me positionner dans le lit de la rivière, parfois au ras de l'eau. À la fin de l'article, vous pouvez voir une comparaison du débit entre novembre 2015 et novembre 2016… il n'y a pas... photo... En novembre 2013, il y avait nettement, nettement beaucoup plus d'eau !
4) en amont juste sous le barrage prévu pour dévier une partie de l'eau dans un canal alimentant une pisciculture. Pratiquement pas d'eau ne passe ce barrage et poursuit son chemin dans le lit du torrent. La vanne à l'entrée du canal est complètement ouverte, le bas de sa lame dépassant de 10 cm le niveau de la surface de l'eau. En novembre 2015, beaucoup plus d'eau franchissait ce barrage mais je ne sais pas comment était positionnée la vanne à l'entrée du bief alimentant la pisciculture.
5) Je continue donc en amont du barrage et même ici, avant donc le prélèvement pour alimenter la pisciculture, le niveau de l'eau n'est pas très haut mais il y a quand même beaucoup plus de courant qu'au début de ma balade et évidemment, il n'est pas question de voir des feuilles tourner en rond lentement.
6) Même en chaussures de randonnée, il est possible de descendre dans le lit de la rivière à certains endroits.
11) sauf erreur, c'est la seconde fois que je remonte aussi haut mais la fois précédente, c'était depuis la rive opposée.
